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COMMENT MAÎTRISER SON BUDGET À NOËL ?

Comment maitriser son budget à Noël?

Chaque année, à pareille époque, notre carte bleue semble chauffer un peu plus dès lors qu’il s’agit d’acheter les cadeaux de Noël. Alors, comment être raisonnable et éviter de tomber dans le rouge ?

1. Prévoir

Vous pouvez toujours agir au gré de votre humeur et de vos envies, mais ne vous étonnez pas, alors du résultat… Une autre méthode consiste à commencer par se fixer un budget plafond. L’avantage est qu’ainsi, vous savez où vous allez. L’important n’est pas tant le prix du cadeau que le fait qu’il fasse plaisir. Pour cela, naturellement, il est conseillé de se renseigner sur les goûts de la personne qui recevra le cadeau.

2. Bien choisir

que le budget est décidé, il faut choisir. Un conseil : n’attendez pas la dernière minute, sous peine de voir les prix flamber… Ensuite, rien ne vous oblige à acheter des produits de marque ou, au contraire, privilégier des plateformes en ligne qui proposent des produits peu chers, mais dont l’origine est incertaine, et ne contribuent pas forcément au bon fonctionnement de l’économie nationale…

Il y a toujours un juste équilibre à trouver. Le danger est de se laisser griser par les appels du pied pour être tendance. En fait, c’est vous qui choisissez ! Donc, c’est vous aussi qui déterminez vos critères d’achat… Outre le prix, vous pouvez aussi, par exemple, privilégier un cadeau intelligent, qui ait du sens.

Offrir une bible, par exemple, n’est pas anodin : la fête de Noël est l’occasion de se renseigner sur ce qu’elle signifie vraiment, ce que disent les évangiles sur le sujet… Mais il existe également d’autres thèmes comme le sport, l’écologie, la littérature…

En fait, cela nécessite de chercher, donc de prendre du temps, plutôt que de faire le plus vite possible pour en être débarrassé. Un dernier critère, mais il y en aurait d’autres, peut être de se demander si on préfère un cadeau de consommation immédiate ou un cadeau qui dure dans le temps : un récit de vie est un cadeau intelligent et qui, de plus, permet la transmission de valeurs qui transcendent les générations. Ce peut être l’occasion de se mettre à plusieurs, pour l’offrir à un proche, pour lui permettre de se raconter, livrer son témoignage.

Il existe donc de multiples façons de faire plaisir pour un coût raisonnable : à vous d’avoir de l’imagination… Venez et discutons-en par chat’

« Donnez et l’on vous donnera. »

                            Luc 6 ;38

COMMENT NOËL EST-IL FÊTÉ CHEZ LES ORTHODOXES ?

COMMENT NOËL EST-IL FÊTÉ CHEZ LES ORTHODOXES

Noël est une fête chrétienne, mais elle n’est pas célébrée de la même manière selon que vous êtes catholique ou orthodoxe. Quelle est donc la particularité de cette fête dans la religion orthodoxe ?

1. Une date différente

La première chose à savoir est que la date n’est pas la même chez les catholiques et les orthodoxes. En effet, la plupart des orthodoxes célèbrent Noël le 7 janvier. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’ils se réfèrent au calendrier julien, alors que les catholiques font référence au calendrier grégorien.

Le calendrier julien a été institué par Jules César en 46 avant JC, pour remplacer le calendrier romain. Il est resté en vigueur en Europe, jusqu’à l’instauration du calendrier grégorien, à la fin du XVIe siècle, à l’initiative du pape Grégoire XIII. Il y a treize jours de décalage entre les deux calendriers, ce qui explique une date différente.

2. Des traditions spécifiques

Pour les orthodoxes, Noël est avant tout une fête religieuse : donc exit le père Noël et les cadeaux. Cette fête est précédée d’un jeûne de quarante jours, jeûne de la Nativité ; assez strict, essentiellement végétarien, même si le poisson est autorisé. 

Il prend fin le 6 janvier au soir, où les fidèles assistent à la Divine Liturgie pour la messe de Minuit. Selon les pays, il existe également diverses traditions. Ainsi, en Grèce, il n’est pas rare d’assister à une procession sur un bateau décoré pour l’occasion.

 En ce qui concerne la nourriture, un repas traditionnel est organisé. Il est composé de douze plats, comme les douze apôtres.

 Donc, le Noël orthodoxe est plus particulièrement à connotation religieuse. 

Avez-vous vécu Noël dans un pays orthodoxe ? Venez nous le raconter par chat’.

« Et soudain, il y eut avec l’ange une troupe céleste innombrable, qui louait Dieu en disant : « Gloire à Dieu au plus haut des cieux, et paix sur la terre aux hommes qu’Il aime. » »

Luc 2 ;13-14

 

Expérience de mort imminente : on la surnomme « le miracle de Noël »

Elle va vivre une expérience de mort imminente quelques jours avant Noël !

Une semaine avant Noël, après une opération du cœur, Juliette est déclarée morte… Et pourtant, toute sa famille gardera à jamais en mémoire que Dieu a fait, en cette période si particulière, un grand miracle en réponse à la prière, au point que tous aujourd’hui l’appellent « le miracle de Noël ».

Tout a commencé à l’hôpital,

lorsque les médecins ont découvert que quatre de ses artères étaient presque complètement bouchées et qu’elle aurait besoin d’un quadruple pontage.

Juliette a prié avant l’opération :

« Seigneur, je ne peux pas laisser mes enfants. Je ne peux pas quitter mon mari. Je ne peux pas quitter mon petit-fils. Seigneur, s’il te plaît, donne-moi juste un peu plus de temps sur cette terre. »

Les amis, la famille, Ethan le petit-fils de Juliette, ont prié eux aussi, pour que l’opération se déroule bien. Ethan raconte:

— Je me suis mis à genoux, et j’ai commencé à prier pour que ma grand-mère soit en sécurité et pour que, quoi qu’il se passe : « S’il te plaît, garde-la avec nous. »

L’opération s’est déroulée comme prévu. Juliette était en salle de réveil. Mais cinq heures plus tard, le tracé électrique cardiaque était plat… D’urgence, elle a été ramenée en chirurgie, où elle s’est éteinte, sur la table d’opération.

Les médecins ont dit que Juliette était morte depuis vingt minutes quand, sans explication, son cœur s’est remis à battre. Emmenée alors en soins intensifs, les médecins ont averti son mari qu’elle n’avait qu’une chance sur deux de vivre.

Récit de la famille

Il se souvient :

– Nous étions dans le couloir, et la voilà qui arrive, allongée sur un brancard; elle avait juste un drap sur elle. Elle était tellement enflée que vous ne pouvez pas l’imaginer, je veux dire, c’était tout simplement incroyable …

Deux jours plus tard, Juliette est sortie de son coma artificiel. La veille de Noël, pleinement consciente, elle a pu parler. C’est alors qu’elle a raconté à tout le monde ce qu’elle avait vécu pendant ces vingt minutes où elle était morte. Son mari se souvient :

– Elle a dit qu’elle était allée au ciel, qu’elle avait vu Jésus. Elle a commencé à tout raconter…

Expérience de Juliette

Et Juliette de prendre la parole :

— Je me souviens avoir quitté mon corps. Et tout de suite après, je suis passée de ce corps à la rive du ciel. Il n’a pas fallu longtemps pour que, tout d’un coup, nous commencions à entendre des gens crier : « Jésus! Jésus!» Et quand il marche, il rayonne. Alors Jésus et moi, nous marchions côte à côte, et je pouvais voir qu’il avait la marque des clous sur ses mains. Et à la minute où j’ai vu ça, c’était tout simplement magnifique, rendez-vous compte! C’était l’homme qui avait offert sa vie pour le monde. Et je me tenais juste à côté de lui. J’ai dit : « Seigneur, si tu me prends maintenant, ça va briser le cœur de Michel. Nous sommes mariés depuis si longtemps que je ne sais pas comment il fera pour se débrouiller sans moi.»

Elle raconte aussi que, du paradis où elle se trouvait, elle voyait son équipe chirurgicale… et son petit-fils :

  • Je savais qu’Ethan suppliait pour moi, sa grand-mère. Ça m’a brisé le cœur, même au paradis.
  • Elle m’a dit qu’elle m’avait vu prier devant la crèche, précise Ethan, et qu’elle avait dit à Dieu qu’elle devait revenir pour nous.
  • Je pouvais voir ce que mon mari faisait, reprend Juliette. Je pouvais voir ce que mes filles faisaient, je pouvais tout voir en même temps. Et puis, tout d’un coup, je suis revenue dans mon corps. On m’a appelée « le miracle de Noël».

Les médecins lui ont dit qu’elle ne remarcherait probablement plus jamais à cause du traumatisme chirurgical. Mais après un an de rééducation, elle est passée du fauteuil roulant au déambulateur :

Je dis qu’il n’y a rien, rien que Dieu ne puisse faire.

Et Ethan de déclarer :

— Je pense que ma grand-mère est un miracle. Vos prières sont entendues par Jésus et Dieu, et elles vous aideront comme elles l’ont fait avec ma grand-mère pour la ramener à moi.

D’autres histoires de Noëls :

 

D’après Jacques Le Cœur, « On m’appelait le miracle de Noël», Chrétiens Magazine, décembre 2023.

Un miracle de Noël : vol 751 pour Varsovie

27 décembre 1991 : « C’est un miracle de Noël», s’exclame le premier ministre suédois, venu sur les lieux du crash aérien du Dana Viking de la Scandinavian Airlines, près de Stockholm, le fameux vol 751 pour Varsovie (1).

Arrêt de deux moteurs

L’avion a décollé de la capitale suédoise, en route vers Varsovie. À bord, cent vingt-neuf passagers et six membres d’équipage.

Peu après le décollage, Stefan Rasmussen, le commandant de bord, signale à la tour de contrôle qu’un problème est survenu sur les deux moteurs. Le copilote tente de les relancer. En vain.

Mais, heureusement, la Providence veille : parmi les passagers se trouve un autre commandant de bord de la même compagnie. Il se précipite dans le cockpit et offre une aide précieuse à l’équipage.

Il faut faire piquer l’avion avant de le mettre en palier, le faire planer sur la plus longue distance possible pour éviter le décrochage.

Le commandant Rasmussen commence alors à réciter à haut voix un Notre Père, repris par la quasi-totalité des passagers plongés dans l’angoisse.

L’avion disparaît des écrans radars, descend de six mille mètres d’altitude à… deux cents mètres. Le drame paraît inévitable. Il ne reste que trente secondes pour calculer le point de chute.

Trente secondes restantes

« Au sol, expliquera à la presse le commandant Rasmussen, je voyais deux champs : un petit et un grand sur ma droite. Avec de la vitesse, je ne pouvais pas virer à droite sans perdre de force portante. Mais dans le petit champ, il y avait de grosses pierres que j’avais peur de heurter. J’ai vu un petit bosquet. Je me suis dit que je pouvais freiner l’avion sur la cime des arbres. J’ai fait un petit virage pour éviter les maisons, je suis passé sur les arbres, les ailes se sont détachées, et quand j’ai senti l’avion se poser, presque doucement, c’était comme Noël, c’est tout ! Les dernières secondes, j’ai cessé de penser, occupé seulement à prier et : penser à ma femme et à mes deux filles, avec qui je voulais passer ces fêtes de Noël… si l’on croit en Dieu, on se doit de reconnaître Son aide !… »

Fin de l’histoire

l’histoire se termine pour le commandant Rasmussen avec quelques point de suture et une minerve. On dénombrera dans ce crash plusieurs blessés, mais aucun mort. En tout cas, personne n’aurait jamais dû sortir vivant.

Les titres fleurissent alors dans la presse : « Capitaine Miracle », « L’avion aidé par les anges», « Le Pater Noster collectif», etc.

Les Suédois ne s’y sont pas trompés : ils viennent encore en pèlerinage vers ce bosquet de sapins enneigés où gisaient les restes du fuselage coupé en trois.

Et vous, qu’en pensez-vous ? Est-ce aussi un miracle de Noël, pour vous ? Venez en parler avec nous sur le chat’ :

D’autres histoires de Noëls :

(1) Un livre en anglais relate ce miracle : Sylvia Wrigley, The Christmas Miracle. SAS 751 Flight Crash. Histoire rapportée par Daniel Ange dans son livre Noël et ses miracles, librement adapté pour LalumieredeNoel.com.